Aigrefeuille d’Aunis
En quelques chiffres
4009
habitants
16,84 km²
dont 1 200 ha destinés à l'agriculture
1
piscine et 1 lac
Horaires d'ouvertures
MAIRIE
du lundi au vendredi
de 8h15 à 12h20
et de 13h20 à 17h30
sauf le mardi à 16h30
Contact
Mairie d’Aigrefeuille
2, rue de l’Aunis
17290 AIGREFEUILLE d’AUNIS
05 46 27 53 53
05 46 35 54 92 (fax)
Actualités
La vie municipale
Le Maire
M. Gilles Gay
L'équipe municipale
M. Joël LALOYAUX - Mme Marie-France MORANT - M. Philippe AUDEBERT - Mme Anne-Sophie DESCAMPS - M. François PELLETIER - Mme Emmanuelle CHALLAT - M. Didier OTRZONSEK - M. Pascal BLAIS - Mme Marie-Claude BILLEAUD - M. Bertrand DOUNIES - M. Jean-Jack AUBOYER - M. Christophe COSSEAU - Mme Fabienne DELAUNAY - M. David LEDUC-BOUDON - Mme Valérie JOLIVET - Mme Valérie BABINOT - Mme Céline SAUZEAU - Mme Séverine BONIFAIT - Mme Sarah COUTURIER - Mme Livia STEPHAN - M. Yann MOINET - M. Thierry ANDRIEU - Mme Myriam DRAPEAU - M. Benoit TARAUD - Mme Marie-Cécile PESTOUR et M. Gilles BIZOT
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La bibliothèque Livrefeuille
Place du 8 mai 1945
Tél : 05 46 35 55 63
– Mail :
Horaires d’ouverture :
Mardi de 16h30 à 18h30 – Mercredi de 15h à 17h – Jeudi de 16h à 18h – Samedi de 9h45 à 12h15
Responsable : Jean-Claude PETIT
Sur le réseau des bibliothèques : mediatheques-cc-aunis-sud.c3rb.org/ma-bibliotheque/aigrefeuille
La piscine
Rue de la Taillée
05 46 27 51 70
Équipements : 1 bassin de natation, 1 bassin de loisirs et 1 pataugeoire
Ouverte en saison. Pour consulter les horaires, téléchargez le flyer
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Un peu d'histoire
À Aigrefeuille d’Aunis, les premières traces d’occupation humaine datent de la période du haut Moyen Âge (XIIe siècle). Témoin de cette époque : l’église Saint-Étienne, plus vieil édifice de la commune.
Attesté sous la forme latinisée Agrifolio à l’époque médiévale, le nom de la commune renvoie au terme Aigrefeuille ou aigrefuilhe, qui signifie houx en langue d’oïl, évocation forestière des premières maisons du hameau originel construites près d’un bois où abondait cet arbuste aux feuilles piquantes.
Si Aigrefeuille évoque d’abord le houx, il existe une plante qui a joué un rôle méconnu dans son histoire : la betterave. Au XIXe siècle, la production de betterave à sucre a étonnamment prospéré, au point de voir en 1888 une distillerie coopérative s’implanter sur son sol, rue de la gare.
L'église Saint-Etienne
Construite dans le style roman au milieu du XIIe siècle, elle a connu de nombreux remaniements. Plusieurs campagnes menées à partir du XIVe siècle ont conduit à l’agrandissement du sanctuaire et au remplacement des anciennes absidioles romanes par des chapelles latérales rectangulaires. Aux lendemains de la guerre de Cent Ans, l’édifice connaît des travaux de restauration et de fortification.
La façade que l’on peut observer actuellement a connu en réalité un remaniement au XVIIIe siècle, avec notamment le remplacement de l’ancien clocher médiéval par un campanile néo-roman surmonté d’une flèche octogonale. Que reste-t-il aujourd’hui de l’édifice originel ? Les croisillons romans, qui conservent leurs voûtes en berceau brisé ainsi que plusieurs chapiteaux.
La Place de la République
Elle est le cœur de la ville et accueille le monument aux morts, érigé en 1920.
Le Collège du Saint-Sacrement
Institution religieuse établie en 1857 à la demande de l’évêque de La Rochelle, l’établissement est alors géré par quatre sœurs du Saint Sacrement d’Autun. Pendant la Première Guerre mondiale, le bâtiment est transformé en hôpital.
L'hôtel de ville
Édifié en pierres de taille, l’hôtel de ville est inauguré en 1870 et figure parmi l’un des bâtiments les plus anciens de la commune.
L'ancienne gendarmerie
Ce bâtiment de gendarmerie voit le jour en 1876 sous la IIIe République et présente le même style néo-classique que l’hôtel de ville.
Un Aigrefeuillais dans l’Histoire : André Dulin (1900-1973)
Homme politique français, André Dulin a été maire de la commune. Ancien résistant proche du général De Gaulle, participant notamment aux émissions de Radio Londres pendant la Seconde Guerre mondiale, il a également occupé les postes de Secrétaire d’État à l’Agriculture, de Ministre des Anciens Combattants, de sénateur, de député européen et de président du Conseil général de la Charente-Maritime. C’est notamment sous ce dernier mandat qu’a été préconisée et entérinée la construction d’un pont entre l’Ile d’Oléron et la France, finalement édifié en 1966.